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MOISE, PRINCE D'EGYPTE

Introduction

Moïse est né en Egypte vers 1200 avant J-C.

Sa vie de prophète et de rassembleur du peuple juif est relatée dans l’Exode et le Deutéronome (Ancien Testament). Ci-contre sculpture de Michel-Ange.

Moïse a transmis à son peuple les dix commandements.

Les cinq premiers livres de l’Ancien Testament (Genèse, Exode, Lévitique, Nombre et Deutéronome) appelés Pentateuque, et qui forment la Torah ("la Loi") lui ont également été attribués, mais les nombreuses exégèses effectuées permettent de penser que ces textes n'ont pas été écrits par un seul homme.

Moïse est mentionné dans le judaïsme, le christianisme et l’islam.




La jeunesse


L'Exode indique que Moïse est né à Goshen, en Egypte, fils d’Amran et Yokèbed, tous deux issus de la tribu de Lévi, et aurait pour frère et soeur, Aaron et Myriam.
Le pharaon d'Egypte ayant ordonné la mise à mort de tous les jeunes garçons nouveau-nés des Hébreux soumis à l’esclavage, la mère de Moïse place son fils dans une corbeille et le dépose sur les rives du Nil. L’enfant est recueilli par la fille du pharaon, qui l'élève comme son fils. Elle lui donne le nom de Moïse, car elle l’a "tiré des eaux".

Image tirée du film "Le Prince d'Egypte" Dreamworks

 

 

La révélation au Buisson Ardent
Devenu adulte et informé de ses origines, Moïse visite l’un des chantiers où travaillent les Hébreux ; il tue un Egyptien qui persécute l’un d’eux. Il quitte l'Egypte pour aller dans le pays de Madian.
Il reçoit alors la révélation de sa mission au Buisson ardent:
libérer le peuple hébreu de l’esclavage et le guider vers la Terre promise, le pays de Canaan,
conclure l’Alliance, enseigner la loi qui porte son nom.

Dieu lui dit :"Je suis celui qui est".

Moïse reçoit ensuite le don de faire des miracles, pour qu’il soit reconnu par les Hébreux comme l’élu de leur Dieu, et pour convaincre le pharaon. Moïse se rend donc en Egypte. Il obtient la libération des Hébreux, avec l’aide de son frère Aaron.

La traversée dans le désert et le passage de la Mer Rouge


Le peuple hébreu marche alors dans le désert et franchit la Mer Rouge grâce à un miracle de Moïse, ouvrant les flots en deux pour le passage de son peuple, et les refermant sur ses poursuivants qui sont noyés.


Les dix commandements
Au Sinaï, Moïse reçoit les dix commandements et engage Israël à suivre la Loi de l’Alliance, qui préconise la crainte et l’amour d’un Dieu unique invisible, omniscient et tout-puissant. Les dix commandements :

Je suis l'Eternel ton Dieu qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte.
Tu n'auras pas d'autres dieux que moi. Tu ne te feras point d'idole.
Tu n'invoqueras point le nom de l'Eternel en vain.
Pendant six jours tu travailleras, mais le septième jour tu te reposeras.
Honore ton père et ta mère.
Tu ne tueras point.
Tu ne commettras pas d'adultère.
Tu ne voleras point.
Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.
Tu ne convoiteras point ce qui appartient à ton prochain.
Moïse reçoit les Tables de la Loi (ci-dessus à droite).

La mort de Moïse
Moïse meurt à proximité de la Terre promise, le pays de Canaan, après l'avoir aperçue au sommet du mont Nébo, en face de Jéricho, et après avoir désigné Josué comme successeur et remis les tables de la Loi aux anciens pour les enseigner au peuple, avec une lecture tous les sept ans pendant la fête des Huttes.

Moïse dans le christianisme
Moïse est souvent mentionné dans le Nouveau Testament. Il apparaît pendant la Transfiguration du Christ en tant que représentant de la Loi (Evangile selon saint Matthieu) et son rôle dans l’Ancien Testament est mentionné dans l'Epître aux Hébreux par comparaison à celui du Christ. Il est également cité dans l'Evangile selon saint Jean.
Compléments ésotériques
Le Maître de Benjamin Creme (voir "La mission de Maitreya", tome I ou III ci-dessous) a indiqué que Moïse était un avatar humain, initié de 2ème degré, ce qui pour cette époque, était une initiation de haut niveau. Ame de 6ème rayon, il avait une personnalité de 6ème rayon, son corps mental était sur le 1er rayon et son corps astral sur le 4ème rayon.
L'Ancien Testament est écrit en langage symbolique, comme tous les textes sacrés: Moïse n'a pas séparé les eaux de la Mer Rouge, ne parlait pas avec Dieu mais avec son Maître, et n'a pas reçu de Dieu une tablette de pierre sur le Mont Sinaï, mais a formulé ce qu'il a entendu intérieurement.
Moïse est maintenant un Maître, non attaché à la Terre (sur Sirius).

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Bibliographie
"Le grand livre des religions du monde" sous la direction de Peter Clarke, éditions Solar
"Les livres sacrés" de Fernand Comte, éditions Bordas
"Les religions de la Bible", tome 1, "Des patriarches à l'exode", éditions Dargaud
"Dictionnaire encyclopédique du judaïsme", éditions Cerf/Robert Laffont

 

http://perso.wanadoo.fr/revue.shakti/moise.htm

 

Dossier


Image tirée du film "Le Prince d'Egypte" Dreamworks


Moïse et Pharaon
Les Hébreux en Egypte : réalités et fantasmes

Devant la vacuité des sources historiques, il est tentant de bâtir des hypothèses sur le personnage de Moïse et sur le séjour des Israélites au bord du Nil. Au-delà des interprétations, il s'agit d'une période clé pour la fixation de leurs traditions.

Par Alain Zivie


Le chercheur scrupuleux ne peut qu'hésiter à écrire un bref article destiné à un large public sur la question des relations entre Hébreux et Egyptiens, Moïse, l'Exode, Akhenaton, le monothéisme, etc. La raison en est simple : aborder ces questions, c'est se lancer dans une entreprise presque impossible, voire périlleuse, tant les écueils sont nombreux - plus en tout cas que dans beaucoup d'autres entreprises historiques, du fait de toutes les implications de ces sujets et surtout du fait de la forte part de fantasmes, ou au moins d'imaginaire qui les accompagne.

En fait, on pourrait résumer la situation très brièvement, en donnant une présentation simple, voire « brute » des choses. Deux rouleaux de la Torah (ou Pentateuque) hébraïque (faisant partie de ce qui deviendra l'Ancien Testament dans la tradition christiano-occidentale), à savoir le livre de la Genèse et celui de l'Exode, narrent un certain nombre d'événements qui semblent constituer la trame de l'histoire archaïque d'un peuple nomade ou semi-nomade en formation et en voie de sédentarisation, avec ses migrations et ses déplacements. Naturellement, il ne s'agit pas là d'Histoire à proprement parler, mais de la manière dont, très longtemps après certains événements, ce peuple se souvient de son histoire, la formule et la présente à la lumière d'une certaine vision qu'il se fait du monde et de lui-même.





Roman Egypte Ancienne
Men-Néfert, Roman Egypte Ancienne par l'auteur de ce site

Ce peuple est celui des Beneï Israël , Enfants (Fils) d'Israël, ou Israélites, mais il utilise également pour se désigner la dénomination plus large utilisée par les autres cultures qu'il côtoie, celle d'Hébreux - peut-être les Habirou ou Apirou des sources proche et moyen-orientales ou égyptiennes.

Parmi les déplacements individuels, familiaux, claniques et plus tard tribaux, narrés dans ces textes, figurent en bonne place des va-et-vient entre la terre de Canaan - plus tard dénommée Eretz ou pays d'Israël et, plus tard encore, Palestine - et la vallée du Nil. L'Egypte va du reste jouer un rôle central dans cette histoire, dans la mesure où elle est présentée comme le creuset dans lequel des individus, des clans, des tribus, qui ont en commun de se rattacher à une lignée et à une divinité communes, vont se constituer en peuple à la suite d'événements capitaux qui se déroulèrent dans ce pays.

Réduits en servitude par l'Etat pharaonique qui voit en eux une menace après avoir mis au sommet l'un des leurs (Joseph), ils finissent par quitter le pays, départ présenté tantôt comme une expulsion, tantôt comme une fuite. Leur chef est un Israélite fortement égyptianisé, élevé dans l'ombre du pouvoir pharaonique, qui se nomme Mosché (Moïse), présenté comme un nom égyptien. Cette sortie d'Egypte, connue depuis sous le nom d'Exode, constitue une péripétie essentielle du récit (Exode 13,14). Elle est suivie d'une longue pérégrination à travers le désert, aboutissant enfin à l'installation mouvementée des Hébreux en terre de Canaan.

Tel est, grossièrement résumé, et en oubliant ses obscurités et ses apparentes contradictions, le récit biblique qui nous intéresse ici, et qui a suscité et suscite encore tant d'études, de commentaires, de gloses, de romans, d'opéras, de films, que l'on en vient presque à oublier un fait fondamental : rien dans l'état actuel de la documentation égyptienne plus ou moins contemporaine de ces événements, ne vient confirmer ce récit, ni même faire allusion, ne serait-ce que fugitivement, à l'un des épisodes ou des personnages mentionnés. Rien ! Au demeurant, on peut légitimement penser que cela n'est pas dû seulement à l'état de la documentation et à l'absence de traces archéologiques ou épigraphiques, et qu'on ne trouvera jamais de « confirmation » égyptienne directe du récit biblique, du moins du récit tel qu'il a été amplifié et réinterprété à la lumière des événements qui ont suivi au cours de plusieurs siècles.

La présentation des choses pourrait se terminer là, marquant ainsi, dans sa sécheresse, les étroites limites de nos connaissances. Pour beaucoup, peu ou mal informés, ou trop pressés, cet état de choses, ce vide, cette absence de documents et de sources susceptibles de confirmer le récit, tout cela semble pratiquement insupportable. Diverses réactions visant à nier cette réalité ou à la contourner sont alors possibles. Deux attitudes sont particulièrement fréquentes. La première, radicale et simpliste, consiste à dire que dans ces conditions, tout est fiction dans ce récit et qu'il faut cesser d'en tenir compte d'un point de vue historique. La seconde réaction, fort prisée de nos jours, conduit à penser que puisqu'on a affaire à un grand trou noir, à une terra incognita qu'il faut tenter de conquérir vaille que vaille, on peut toujours bâtir des hypothèses fragiles pour tenter de combler cette part d'inconnu, quitte à faire de cette « terre inconnue » le triste déversoir de reconstructions hasardeuses et de fantasmes en vogue, et cela sans limite, jusqu'au point de produire parfois des discours aberrants, comme on l'a vu avec des succès de librairie récents. Naturellement, il ne s'agit plus là de travaux et de publications émanant de spécialistes, mais de chercheurs autoproclamés.

La première des réactions susmentionnées est fondée sur une approche fermée, voire hostile à toutes ces questions faisant, au fond, son miel de l'absence de confirmation documentaire (et donc, en déduit-on, historique) de tout ce récit, jetant le bébé avec l'eau du bain si l'on peut dire. La seconde tendrait à vouloir utiliser, voire prolonger le vaste corpus de traditions, de mythes, de fictions suscités par le texte biblique, tout en adoptant une démarche prétendument scientifique. Mais ces approches relèvent trop souvent d'une histoire fantasmée, associée à un bien pauvre imaginaire. Pourtant cette approche trouve en quelque sorte son public, un très large public, curieux d'en savoir plus sur ces questions qui forment une part importante du substrat de chacun ; public malheureusement très ignorant de ces choses, comme parfois certains auteurs eux-mêmes qui, dans le meilleur des cas, n'ont qu'un accès indirect aux sources.

Compte tenu de tout cela, il est important de souligner la fragilité et même souvent l'inanité des rapprochements, datations, filiations, etc., que l'on trouve fréquemment mentionnés et développés dans maintes publications, souvent même sous la plume d'égyptologues polyvalents ou généralistes qui ne font que reprendre les opinions qui traînent et finissent par prendre un semblant de consistance avec le temps.

Ainsi en va-t-il de la datation du séjour des Hébreux en Egypte. Il est par exemple très fréquent de dater l'Exode du règne de Ramsès II (1279-1213 av. J.-C.). A l'origine de cette idée, il y a simplement le fait qu'il est fait mention dans le texte biblique de la cité de Ramsès, qui évoque la Pi-Ramsès édifiée par les pharaons de la XIXe dynastie à l'est du delta du Nil. Mais les choses sont beaucoup plus compliquées et il y a d'autres approches et explications possibles, très techniques au demeurant. Bien entendu, l'avantage de dater l'Exode de Ramsès II permet du même coup de faire de Moïse un contemporain de ce pharaon, et par conséquent de faire s'affronter deux « icônes » de notre imaginaire, à la manière de Charlton Heston et Yul Bryner.

Autre datation plus ou moins en vogue de l'Exode, celle qui le situe durant le règne du successeur de Ramsès II, Merenptah ou Mineptah (1213-1203 av. J.-C.). Pour ce faire, on utilise un texte exceptionnel datant de ce pharaon, que l'on nomme justement la Stèle d'Israël (lire p. 65) . En fait, il s'agit de l'un de ces textes emphatiques de triomphe autoproclamé. L'ordre égyptien règne désormais, paraît-il, tout autour de l'Egypte et entre autres au Proche-Orient, du côté du pays de Canaan. Parmi les contrées écrasées est mentionné un peuple, non une terre (les hiéroglyphes permettent de faire passer ce genre de nuances) : Israël. C'est la plus ancienne mention de ce nom dans un document écrit, quel qu'il soit. Elle a fait couler des déluges (ou des crues, vu le contexte) d'encre. Mais même s'il est probable que cet Israël-là a à voir, directement ou non, avec le sujet, cette mention reste problématique et suscitera encore bien des discussions.

Cela dit, il n'est pas exclu pour l'historien de tenter de retrouver dans les méandres et les obscurités du récit biblique une certaine réalité historique. Mais pour cela, il lui faudra au préalable élaborer une méthode et une démarche. Il lui faudra aussi tenir compte de ce que ce récit a été conçu et rédigé longtemps après les événements qu'il relate ; que d'autre part, la longue histoire des relations entre l'Egypte et les Hébreux ou Israélites, devenus les Judéens ou Juifs, ne s'arrête pas avec l'Exode. Au contraire, elle ne fait que commencer avec cet événement fondateur, quelle qu'en ait été sa dimension réelle.

Peu à peu, on entre dans l'Histoire et de nouvelles migrations, de nouvelles installations des Israélites en Egypte se produisent, qui ne seront pas sans conséquence sur l'écriture ou la réécriture du récit fondateur. Interprétations et réinterprétations s'affinent et se multiplient, conférant à ce récit des échos multiples. Ce sont aussi à travers elles que nous appréhendons toute cette histoire, à travers ce prisme qui empêche trop souvent de comprendre quelles ont été les réalités, événements, personnages, idées, etc., qui furent à l'origine de tout cela et qui constituèrent le noyau initial.

Mais il faut également avoir présent à l'esprit que ce que l'on pourra découvrir ou entrevoir n'aura souvent que peu de rapports avec les images d'opéra ou de films à grand spectacle qui traînent dans nos souvenirs et notre inconscient. Aussi, face à l'humilité de cette démarche, face aux résultats apparemment modestes d'une recherche digne de ce nom, les « généralistes » ou, pire, les marchands de vent, les bricoleurs de sources qu'ils ne connaissent que de quatrième ou de cinquième main, pourront malheureusement continuer à faire rêver les lecteurs curieux, mais mal informés.

Si une confusion, ou plutôt une question mal posée, s'inscrit dans ce genre de démarche, c'est bien celle de l'« invention » du monothéisme, voire de son « inventeur ». Comme le séjour des Hébreux pourrait avoir en partie coïncidé avec la période dite « amarnienne » (lire p. 65) durant laquelle le pharaon Amenhotep (Aménophis) IV, devenu Akhenaton (1353-1337 av. J.-C.), a régné en rompant avec certaines formes traditionnelles de la religion égyptienne au profit d'un dieu exclusif, le soleil Aton, on ne cesse depuis plus d'un siècle de faire des rapprochements entre ce roi et sa réforme religieuse, et le personnage de Moïse et la religion mosaïque. Rapprochements périlleux ou bricolés à la diable, qui plus est accompagnés de tentatives touchantes, mais plutôt vaines, d'établir une filiation dans l'un ou l'autre sens.

Le grand exemple à cet égard est bien sûr Sigmund Freud avec son Moïse et le monothéisme , même s'il s'agit là d'une tout autre histoire. Rappelons donc, encore et toujours, deux points essentiels. D'une part, le monothéisme des Hébreux n'est pas apparu d'un coup sous la forme qu'on lui connaît, mais il est le fruit d'une longue évolution, depuis l'époque patriarcale jusqu'aux prophètes, en passant par l'enseignement mosaïque, justement. D'autre part, l'atonisme d'Akhenaton, s'il est un exclusivisme, n'est pas un monothéisme au sens biblique du terme (c'est-à-dire celui du temps des prophètes), loin s'en faut.

Dans ces conditions, il faut se garder d'établir des filiations simplistes et purement imaginaires, voire des transmissions qui se seraient faites presque d'homme à homme. Cela ne signifie pas pour autant que la science historique n'ait rien à dire là-dessus. Peut-être même la poursuite des recherches, tant sur le terrain que sur les sources et les textes, amènera-t-elle du nouveau, à défaut de confirmation directe, fort improbable comme on l'a dit plus haut. Seulement, il faut pour cela savoir formuler et poser les bonnes questions. Mais saura-t-on reconnaître les réponses qu'elles pourront apporter à la question toujours ouverte de l'histoire des Hébreux et des Egyptiens aux époques anciennes, c'est-à-dire au second millénaire avant notre ère ?

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* Alain Zivie, directeur de recherche au CNRS (UMR 8567), est le fondateur et le chef de la Mission archéologique française du Bubasteion à Saqqara. Il est également vice-président de la Société française d'égyptologie.
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Exode 13

17 Quand le Pharaon laissa partir le peuple, Dieu ne le conduisit pas par la route du pays des Philistins, bien qu'elle fût la plus directe. [...] 18 Dieu détourna le peuple vers le désert de la mer des Joncs. C'est en ordre de bataille que les fils d'Israël étaient montés du pays d'Egypte. [...] 20 Ils partirent de Sukkôth et campèrent à Etham en bordure du désert. 21 Le Seigneur lui-même marchait à leur tête : colonne de nuée le jour, pour leur ouvrir la route - colonne de feu la nuit, pour les éclairer ; ils pouvaient ainsi marcher jour et nuit.

Moïse sauvé des eaux

Déposé par sa mère dans une corbeille au bord du Nil, l'enfant est recueilli par la fille du pharaon qui l'adopte (Ex 2, 1-10). La vie du fondateur de la religion et de la nation d'Israël n'est connue que par la tradition biblique.

Repères

3200-2700
Ire-IIe dynasties.
2700-2150
IIIe-VIe dynasties.
2150-2000
VIIe-Xe dynasties.
2000-1800
XIe-XIIe dynasties.
1800-1550
XIIIe-XVIIe dynasties.
1550-1080
XVIIIe-XXe dynasties.
1391-1353 :
Amenhotep ou Aménophis III.
1353-1337 :
Amenhotep ou Aménophis IV (Akhenaton).
1279-1213 :
Ramsès II
1213-1203 :
Merenptah ou Mineptah.
1080-670
XXIe-XXVe dynasties.
670-332
XXVIe-XXXe dynasties.
332-30
Période ptolémaïque ou hellénistique.



© Historia mensuel
01/02/2005 - N° 698 - Rubrique Dossier - P 58 - 2236 mots - Dossier


http://www.historia.presse.fr/data/mag/698/69805801.html

 






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